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90 - Vers Jerusalem... à pied... Sin El Fil
Pourquoi, nous aimons tous le Liban... vaste sujet de reflexions...
En echangeant avec Roger ce matin, le seul mot qui pourrait, certainement, résumé, le pourquoi de cette affection, que nous les français portons au Liban :
L I B E R T E ...
Ce pays malgre tous les malheurs, les guerres, les confessions religieuses differentes, ces 3 millions d habitants veulent rester un pays independant et souverain, tous ces gens savent qu ici ils ont libres de dire, de penser, d aller et de faire... comme ils le souhaitent
Des personnes plus competentes pourraient ecrire des pages et des pages sur ce pays qui ne possedent pas de richesses naturelles, mais qui a une ame, une envie de vivre...
A vous chers amis lecteurs de me dire, si vous ressentez la meme chose, me faire part de vos souvenirs, de me decrire votre Liban vu de France ou d ailleurs ( à mes abonnes d Allemagne, Suisse, Autriche, Turquie, Japon etc...)
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Commentaires
Tu sais a Becharre, j etais dans son village, et meme visite la maison ou il est ne,
et la valle de Kadisha qui la inspiremerci pour de nous rappeler ses ecrits...
aujourd hui j ai lu quelques pqges sur la guerre... terrible ce qui a pu se deroule ici...
mais vraiment aucune perception de danger, sauf a ne pas faire attention aux vehicules qui peuvent de croiser, doubvler, sinon... rien12MONIEZ RenéLundi 3 Novembre 2014 à 11:35
En 1967, en juillet, juste après la guerre des 6 jours, je suis arrivé au Liban par le train de Lataquié après avoir fait du stop depuis mon village en France. Je garde du Liban mes plus beaux souvenir de jeunesse. Après avoir erré quelques jours dans Beyrout je suis entré en contact avec un groupe de jeunes de toute l'Europe. Nous avons travaillé a Mouktara chez Kamal Joumblat à participer a la restauration de Beit Edin, son palais. J'ai rencontré là Mitsi une jeune Libanaise chrétienne, jardinière d'enfants, qui a tenté de faire son possible pour me garder au Liban, mais l'attrait de l'Inde était le plus fort... Merveilleux pays que j'ai tant aimé dans ma jeunesse. J'en ai toujours la nostalgie et je vous envie d'être là-bas en ce moment.( peut-être mon tour l'an prochain?)
J'allais me baigner à la "grotte aux pigeons", près de la falaise des suicidés le long de la corniche, j'avais 20 ans.
Amitiés pèlerines, embrassez cette terre pour moi, merci.
René13R du soleilLundi 3 Novembre 2014 à 11:3514viaud paul (la monLundi 3 Novembre 2014 à 11:35
vient de terminer ton 2 eme Aigle D'OR (chapeau).Mais c'est plus fort JEAAN-CLAUDE prudence et courage Paul15Monique & FrancoLundi 3 Novembre 2014 à 11:3516Anne DucolLundi 3 Novembre 2014 à 11:35
Moi qui ne suis jamais allée au Liban, je l'aime pour le peu que je connais de lui...Et c'est déjà beaucoup !
Biz
Anne17marieLundi 3 Novembre 2014 à 11:35
Il y a quelques années,j'ai travaillé avec un libanais (il était client de l'entreprise pour laquelle je travaillais), il était bien entendu francophile: amour de notre langue, de notre culture, il connaît l'histoire de France sans doute mieux que de nombreux francais.
Il s'est demandé pourquoi je partais vivre en Allemagne (sourire)
C'est formidable que tu visites ces pays, surtout celui-ci18Véronique PAUTRELLundi 3 Novembre 2014 à 11:35
parce que ma meilleure amie Valérie est d'origine libanaise.. elle sait me parler avec tellement de chaleur de ce merveilleux pays.
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Le prophète.
Connaissance de soi :
Un homme dit, Parle-nous de la Connaissance de Soi.
Et il répondit, disant :
Votre cœur connait en silence les secrets des jours et des nuits. Mais vos oreilles ont soif d’entendre la palpitation du savoir de votre cœur.
Vous voudriez connaître par des mots ce que vous avez toujours su en pensée. Vous voudriez toucher de vos doigts le corps nu de vos rêves.
Et il est bon que vous le vouliez.
La source secrète de votre âme doit jaillir et courir en murmurant vers la mer ; Et le trésor de vos infinies profondeurs sera révélé à vos yeux.
Mais qu’il n’y ait pas de balance pour jauger votre trésor inconnu ; Et ne sondez pas les profondeurs de votre savoir avec une perche ou un drain.
Car le moi est une mer sans bornes et incommensurable.
Ne dites pas, « J’ai trouvé la vérité », mais plutôt, « J’ai trouvé une vérité ». Ne dites pas, « J’ai trouvé le chemin de l’âme ». Dites plutôt, « J’ai rencontré l’âme marchant sur mon chemin ».
Car l’âme marche sur tous les chemins. L’âme ne marche pas sur une ligne, ni ne croît comme un roseau.
L’âme se déplie, comme un lotus aux pétales innombrables.